Il n'est pas très aisé d'aimer
Dans l'obscurité de l'été
Et sur les peupliers fanés
Naissent une volupté damnée
Le peuple lié au son de l'épée
Tient dressé le glas mortifié
Par ce papier la mort est née
Au creux de l'être tant désiré
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4 commentaires:
exercice de style interressant et réussi, surtout dans un laps de temps aussi court.
Oui je sais, respect de l'octosyllabe (:)), tout en "é"...
Et des jeux de mots à tomber par terre (de rire), au moins je continue dans la lignée de ces profs de lettres que l'on dit frustrés de ne pas savoir écrire....
:)
Très belle plume, bien que mélacolique à mon goût.
"Même dans l'obscurité se cache une parcelle de lumière et d'espoir à laquelle se rattaché."
Ce sera ma pensée philosophique du jour.
PS: pourquoi ne pas créer un post sur "A mort ma proprio", sujet tellement intérresant et d'actualité.
Au fait c'est Kram qui a écris le post d'au dessus.
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